Proposition plan du projet
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Proposition plan du projet
par Cindy Kerdreux Jeu 6 Mar - 17:30
Marche :
La marche est un des moyens que nous avons choisi de mettre en œuvre pour atteindre les objectifs suivants, l'enrichissement personnel, l'apprentissage de la vie en collectivité mais aussi et surtout la construction même du projet.
Etant une activité physique, la marche demandera de la concentration, nous obligera à être attentif, à nous-mêmes dans un premier temps, savoir écouter notre souffle, reconnaitre quand le corps pose ses limites. A être attentif aux autres membres du groupe, faire avec le rythme de chacun, leurs différentes aptitudes physiques, pour parvenir à avancer ensembles, à rester un groupe soudé et homogène. C'est un comportement que nous devront mettre en application dans nos futurs métiers de travailleurs sociales, avancer au rythme de l'usager, tout en décidant avec lui, d'un chemin à suivre pour aller jusqu'à l'aboutissement du projet mis en place.
La marche nous demandera également de faire attention à ce qui nous entoure, à prendre le temps de voir dans quel milieu on évolue.
C'est pour cela que le désert intervient comme notre deuxième moyen. La détermination du lieux était primordiale dans la conception de notre projet.
Désert:
Nous avons arrêtés notre choix sur le désert marocain du fait de son immensité, de sa pureté qui contrastera avec les villes ou nous avons l'habitude d'évoluer, entouré de bruits, d'images, de personnes.
Là-bas nous seront pratiquement en autarcie, sans tous les moyens de communication qui sont à notre disposition en France, obliger de communiquer avec les mots, qu'ils soient dit ou écrit. Nous disposeront d'un temps qui nous manque en formation, celui de s'écouter, sois ou les autres, de se connaitre, individuellement, en groupe, mais aussi de rencontrer des personnes totalement différentes de nous, ce qui sera constamment le cas en tant que futur éducateur spécialisé ou assistant de service sociale, on se confrontera à caractères, des habitus, des parcours de vie, qui seront parfois en totale opposition avec ce qui nous sera familier.
Le dernier média sur lequel notre groupe s'appuiera est l'écriture.
Écriture:
Au même titre que la marche, écrire exige un concentration, une recentration sur soi-même. Cela rejoins aussi le désert, puisque lorsqu'on est face à la feuille, il n'y a pas de possibilité de s'échapper. Démarche personnelle, puis à partager avec les autres membres du groupe, l'écriture met sur un même pied d'égalité tous les individus. Elle nécessite de se livrer, de se raconter, à des personnes qu'on ne connait pas toujours très bien. Par ce biais nous seront à la place de nos futurs usager, à qui on demande constamment d'expliquer, de reprendre du début, de formuler ses difficultés, de parler de sa situation.
Hey, je vous laisse ne faire ce que vous voulez, le corriger, le modifier, l'étoffer, notamment la partie sur le désert que Simon avait déjà commencé à écrire.
Bonne soirée à tous !
La marche est un des moyens que nous avons choisi de mettre en œuvre pour atteindre les objectifs suivants, l'enrichissement personnel, l'apprentissage de la vie en collectivité mais aussi et surtout la construction même du projet.
Etant une activité physique, la marche demandera de la concentration, nous obligera à être attentif, à nous-mêmes dans un premier temps, savoir écouter notre souffle, reconnaitre quand le corps pose ses limites. A être attentif aux autres membres du groupe, faire avec le rythme de chacun, leurs différentes aptitudes physiques, pour parvenir à avancer ensembles, à rester un groupe soudé et homogène. C'est un comportement que nous devront mettre en application dans nos futurs métiers de travailleurs sociales, avancer au rythme de l'usager, tout en décidant avec lui, d'un chemin à suivre pour aller jusqu'à l'aboutissement du projet mis en place.
La marche nous demandera également de faire attention à ce qui nous entoure, à prendre le temps de voir dans quel milieu on évolue.
C'est pour cela que le désert intervient comme notre deuxième moyen. La détermination du lieux était primordiale dans la conception de notre projet.
Désert:
Nous avons arrêtés notre choix sur le désert marocain du fait de son immensité, de sa pureté qui contrastera avec les villes ou nous avons l'habitude d'évoluer, entouré de bruits, d'images, de personnes.
Là-bas nous seront pratiquement en autarcie, sans tous les moyens de communication qui sont à notre disposition en France, obliger de communiquer avec les mots, qu'ils soient dit ou écrit. Nous disposeront d'un temps qui nous manque en formation, celui de s'écouter, sois ou les autres, de se connaitre, individuellement, en groupe, mais aussi de rencontrer des personnes totalement différentes de nous, ce qui sera constamment le cas en tant que futur éducateur spécialisé ou assistant de service sociale, on se confrontera à caractères, des habitus, des parcours de vie, qui seront parfois en totale opposition avec ce qui nous sera familier.
Le dernier média sur lequel notre groupe s'appuiera est l'écriture.
Écriture:
Au même titre que la marche, écrire exige un concentration, une recentration sur soi-même. Cela rejoins aussi le désert, puisque lorsqu'on est face à la feuille, il n'y a pas de possibilité de s'échapper. Démarche personnelle, puis à partager avec les autres membres du groupe, l'écriture met sur un même pied d'égalité tous les individus. Elle nécessite de se livrer, de se raconter, à des personnes qu'on ne connait pas toujours très bien. Par ce biais nous seront à la place de nos futurs usager, à qui on demande constamment d'expliquer, de reprendre du début, de formuler ses difficultés, de parler de sa situation.
Hey, je vous laisse ne faire ce que vous voulez, le corriger, le modifier, l'étoffer, notamment la partie sur le désert que Simon avait déjà commencé à écrire.
Bonne soirée à tous !
Cindy Kerdreux- Messages : 4
Date d'inscription : 16/02/2014
Re: Proposition plan du projet
par Simon Bernard Dim 9 Mar - 12:59
voir plus bas, j'ai mis du bleu, parce que Sam elle trouve que le rouge pique les yeux!
Dernière édition par Simon Bernard le Dim 9 Mar - 18:45, édité 1 fois
Simon Bernard- Messages : 5
Date d'inscription : 11/02/2014
Re: Proposition plan du projet
par Sam Dim 9 Mar - 16:16
tu veux pas utiliser du bleu ou du orange foncé Simon ste plait? le rouge ça me brule les yeux 
Sam- Admin
- Messages : 44
Date d'inscription : 08/02/2014 -
Re: Proposition plan du projet
par Simon Bernard Dim 9 Mar - 18:44
Marche :
La marche est un des moyens que nous avons choisi de mettre en œuvre pour atteindre les objectifs suivants, l'enrichissement personnel, l'apprentissage de la vie en collectivité mais aussi et surtout la construction et l'aboutissement d'un projet (de route ?)
Etant une activité physique, la marche demandera de la concentration, nous obligera à être attentif, à nous-mêmes dans un premier temps, savoir écouter notre souffle, reconnaître quand notre corps pose ses limites. A être attentif aux autres membres du groupe, faire avec le rythme de chacun, leurs différentes aptitudes physiques, pour parvenir à avancer ensembles, à rester un groupe soudé et homogène. C'est un comportement que nous devront mettre en application dans nos futurs métiers de travailleurs sociaux, avancer au rythme de l'usager, tout en décidant avec lui, d'un chemin à suivre pour aller jusqu'à l'aboutissement du projet mis en place. C'est un travail de longue haleine, qui s'inscrit dans un temps long, tout comme la relation éducative.
Par ailleurs, la marche est un moyen de locomotion permettant d'aller d'un point de départ à un point d'arrivée déterminé. Chaque fin de journée sera ainsi une petite victoire permettant d'augmenter l'estime de soi.
D'autre part, la marche dans le désert comporte une dimension symbolique, puisqu'elle nous permettra de nous mettre dans la peau des marcheurs marocains pour qui cette activité comporte une dimension spirituelle,mais aussi militante (à réorganiser et introduire la marche verte : Youness)
La marche nous demandera enfin de faire attention à ce qui nous entoure, à prendre le temps de voir dans quel milieu on évolue. C'est pour cela que le désert intervient comme notre deuxième moyen. La détermination du lieux était primordiale dans la conception de notre projet.
Désert:
Nous avons arrêtés notre choix sur le désert marocain du fait de son immensité, de sa pureté qui contrastera avec les villes ou nous avons l'habitude d'évoluer, entouré de bruits, d'images, de personnes. Le désert nous offrira un contexte loin de l'hyper-stimulation sensorielle de notre société de consommation occidentale. Ainsi, ce lieu offre un cadre permettant de rompre avec la vie urbaine et le rythme du quotidien. En effet, Le calme du désert ne viendra pas parasiter le cour de nos pensées. Nous disposerons aussi d'un temps qui nous manque en formation, celui de s'écouter, soi ou les autres, de se connaître, individuellement, en groupe. Là-bas nous seront pratiquement en autarcie, sans tous les moyens de communication qui sont à notre disposition en France. Cette triple incidence du calme, du temps, et de l'isolement, nous permettra d'être entièrement disponible à l'autre et à soi-même, ce qui est une qualité essentielle du travailleur social.
Aussi, le désert nous sera un lieu inconnu qui comporte ses contraintes propres. Le manque d'eau et de nourriture à profusion, le peu de civilisation, impliquent de connaître les routes du désert, les lieux pour pouvoir faire du feu, de savoir s'occuper des dromadaires ou chameaux portant nos provisions. En cela nous seront dépendant de nos chameliers. Cela implique de faire confiance en nos guides, de nous laisser porter par un autre que soi. Nous nous laisserons portés au contact de personnes différentes de nous, on se confrontera à des caractères, des habitus, des parcours de vie, qui seront certainement en opposition avec ce qui nous est familier. Nous serons là encore dans la peau de nos usagers qui eux aussi doivent faire confiance à des éducateurs ou assistants sociaux portants en eux une culture parfois différente de la leur.
Enfin , parce qu'il n'y a pas de possibilité de fuite dans le désert, nous devrons trouver des solutions aux problèmes que nous rencontrerons. Le peu de confort hygiénique et sanitaire, le manque de nos proches, ou tout autre modification de notre environnement habituel déstabilisera peut être certains d'entre nous et sera porteur d'un certain mal-être ou d'un sentiment d'insécurité. C'est par le double travail : sur soi pour penser nos difficultés et dans la communication avec les autres que nous dégagerons des lignes de conduites collectives ou individuelles pour palier à ces embarras.
Nous espérons que ce rapport à une nouvelle culture, et la rupture avec nos habitudes nous invitera à nous poser des questions autour du confort, et nous permettra de pointer du doigt un certain bonheur immatériel.
En lien avec les réflexions que le contexte du désert et de la marche feront émerger, le dernier média sur lequel notre groupe s'appuiera est l'écriture qui servira de support pour exprimer nos questionnements aussi bien sur soi que sur le monde qui nous entoure.
Bon, j'ai complété les parties sur la marche et le désert, en fonction de ce que nous nous étions dit. vous êtes invités à modifier, ajouter, supprimer des choses. Concernant l'écriture, le travail reste à faire. J'ai copié/collé, tout ce que nous avons fait jusqu'à présent. C'est un schmilblick à réorganiser, sachant que l'écriture peut prendre des formes très différentes.
Bon courage à tous
Simon.
Écriture:
Au même titre que la marche, écrire exige un concentration, une recentration sur soi-même. Cela rejoins aussi le désert, puisque lorsqu'on est face à la feuille, il n'y a pas de possibilité de s'échapper. Démarche personnelle, puis à partager avec les autres membres du groupe, l'écriture met sur un même pied d'égalité tous les individus. Elle nécessite de se livrer, de se raconter, à des personnes qu'on ne connait pas toujours très bien. Par ce biais nous seront à la place de nos futurs usager, à qui on demande constamment d'expliquer, de reprendre du début, de formuler ses difficultés, de parler de sa situation.
2 dimensions : écrit pour soi/écrit échangés avec les autres ; individuel/collectif
productions collectives/carnet collectif
→ donner plusieurs forment d'écritures
→ guider par des thèmes
→ Quelles contraintes on met ?
- Respect et confiance dans le groupe pour partager les écrits
- découverte de l'autre à travers ses écrits
- lectures partagées : apprendre à transmettre un écrit ?
- travail nécessaire pour l'écriture professionnelle
D'autre part, l'écriture servant de support à exprimer nos questionnements aussi bien sur soi que sur le monde qui nous entoure, permet :
- de prendre le temps pour mettre en place des raisonnements et ainsi démêler des nœuds avec patience et persévérance.
- de confronter notre propre réalité, à celle des autres membres du groupe. Un travail d'échange des ressentis et émotions sur les écrits nous aidera à nous remettre en question, ce qui est une qualité dont doit faire preuve un travailleur social.
(L'écriture occupe également une place importante au sein de notre projet). Extérioriser ses sentiments, ses questionnements, ses doutes par les mots offre la possibilité de s'exprimer librement et d'apprendre à manier l'écriture à sa guise. En vue de réaliser ce voyage au cœur du désert marocain, nous espérons que ce lieu soit fertile pour écrire.
Une fois le séjour réalisé, la relecture de certains passages de son carnet permettrait de prendre suffisamment de recul sur l'expérience vécue et de prendre la juste distance, qui est une compétence que doit acquérir un travailleur social. Nous allons d'autre part apprendre à trouver l'équilibre entre écrire pour soi et écrire pour transmettre aux autres.
Par ailleurs, si l’écriture peut servir d’outil éducatif, elle nous sera aussi nécessaire pour réaliser nos écrits professionnels. C’est donc une activité doublement intéressante dans le cadre de notre formation et par l'apprentissage du partage.
La marche est un des moyens que nous avons choisi de mettre en œuvre pour atteindre les objectifs suivants, l'enrichissement personnel, l'apprentissage de la vie en collectivité mais aussi et surtout la construction et l'aboutissement d'un projet (de route ?)
Etant une activité physique, la marche demandera de la concentration, nous obligera à être attentif, à nous-mêmes dans un premier temps, savoir écouter notre souffle, reconnaître quand notre corps pose ses limites. A être attentif aux autres membres du groupe, faire avec le rythme de chacun, leurs différentes aptitudes physiques, pour parvenir à avancer ensembles, à rester un groupe soudé et homogène. C'est un comportement que nous devront mettre en application dans nos futurs métiers de travailleurs sociaux, avancer au rythme de l'usager, tout en décidant avec lui, d'un chemin à suivre pour aller jusqu'à l'aboutissement du projet mis en place. C'est un travail de longue haleine, qui s'inscrit dans un temps long, tout comme la relation éducative.
Par ailleurs, la marche est un moyen de locomotion permettant d'aller d'un point de départ à un point d'arrivée déterminé. Chaque fin de journée sera ainsi une petite victoire permettant d'augmenter l'estime de soi.
D'autre part, la marche dans le désert comporte une dimension symbolique, puisqu'elle nous permettra de nous mettre dans la peau des marcheurs marocains pour qui cette activité comporte une dimension spirituelle,mais aussi militante (à réorganiser et introduire la marche verte : Youness)
La marche nous demandera enfin de faire attention à ce qui nous entoure, à prendre le temps de voir dans quel milieu on évolue. C'est pour cela que le désert intervient comme notre deuxième moyen. La détermination du lieux était primordiale dans la conception de notre projet.
Désert:
Nous avons arrêtés notre choix sur le désert marocain du fait de son immensité, de sa pureté qui contrastera avec les villes ou nous avons l'habitude d'évoluer, entouré de bruits, d'images, de personnes. Le désert nous offrira un contexte loin de l'hyper-stimulation sensorielle de notre société de consommation occidentale. Ainsi, ce lieu offre un cadre permettant de rompre avec la vie urbaine et le rythme du quotidien. En effet, Le calme du désert ne viendra pas parasiter le cour de nos pensées. Nous disposerons aussi d'un temps qui nous manque en formation, celui de s'écouter, soi ou les autres, de se connaître, individuellement, en groupe. Là-bas nous seront pratiquement en autarcie, sans tous les moyens de communication qui sont à notre disposition en France. Cette triple incidence du calme, du temps, et de l'isolement, nous permettra d'être entièrement disponible à l'autre et à soi-même, ce qui est une qualité essentielle du travailleur social.
Aussi, le désert nous sera un lieu inconnu qui comporte ses contraintes propres. Le manque d'eau et de nourriture à profusion, le peu de civilisation, impliquent de connaître les routes du désert, les lieux pour pouvoir faire du feu, de savoir s'occuper des dromadaires ou chameaux portant nos provisions. En cela nous seront dépendant de nos chameliers. Cela implique de faire confiance en nos guides, de nous laisser porter par un autre que soi. Nous nous laisserons portés au contact de personnes différentes de nous, on se confrontera à des caractères, des habitus, des parcours de vie, qui seront certainement en opposition avec ce qui nous est familier. Nous serons là encore dans la peau de nos usagers qui eux aussi doivent faire confiance à des éducateurs ou assistants sociaux portants en eux une culture parfois différente de la leur.
Enfin , parce qu'il n'y a pas de possibilité de fuite dans le désert, nous devrons trouver des solutions aux problèmes que nous rencontrerons. Le peu de confort hygiénique et sanitaire, le manque de nos proches, ou tout autre modification de notre environnement habituel déstabilisera peut être certains d'entre nous et sera porteur d'un certain mal-être ou d'un sentiment d'insécurité. C'est par le double travail : sur soi pour penser nos difficultés et dans la communication avec les autres que nous dégagerons des lignes de conduites collectives ou individuelles pour palier à ces embarras.
Nous espérons que ce rapport à une nouvelle culture, et la rupture avec nos habitudes nous invitera à nous poser des questions autour du confort, et nous permettra de pointer du doigt un certain bonheur immatériel.
En lien avec les réflexions que le contexte du désert et de la marche feront émerger, le dernier média sur lequel notre groupe s'appuiera est l'écriture qui servira de support pour exprimer nos questionnements aussi bien sur soi que sur le monde qui nous entoure.
Bon, j'ai complété les parties sur la marche et le désert, en fonction de ce que nous nous étions dit. vous êtes invités à modifier, ajouter, supprimer des choses. Concernant l'écriture, le travail reste à faire. J'ai copié/collé, tout ce que nous avons fait jusqu'à présent. C'est un schmilblick à réorganiser, sachant que l'écriture peut prendre des formes très différentes.
Bon courage à tous
Simon.
Écriture:
Au même titre que la marche, écrire exige un concentration, une recentration sur soi-même. Cela rejoins aussi le désert, puisque lorsqu'on est face à la feuille, il n'y a pas de possibilité de s'échapper. Démarche personnelle, puis à partager avec les autres membres du groupe, l'écriture met sur un même pied d'égalité tous les individus. Elle nécessite de se livrer, de se raconter, à des personnes qu'on ne connait pas toujours très bien. Par ce biais nous seront à la place de nos futurs usager, à qui on demande constamment d'expliquer, de reprendre du début, de formuler ses difficultés, de parler de sa situation.
2 dimensions : écrit pour soi/écrit échangés avec les autres ; individuel/collectif
productions collectives/carnet collectif
→ donner plusieurs forment d'écritures
→ guider par des thèmes
→ Quelles contraintes on met ?
- Respect et confiance dans le groupe pour partager les écrits
- découverte de l'autre à travers ses écrits
- lectures partagées : apprendre à transmettre un écrit ?
- travail nécessaire pour l'écriture professionnelle
D'autre part, l'écriture servant de support à exprimer nos questionnements aussi bien sur soi que sur le monde qui nous entoure, permet :
- de prendre le temps pour mettre en place des raisonnements et ainsi démêler des nœuds avec patience et persévérance.
- de confronter notre propre réalité, à celle des autres membres du groupe. Un travail d'échange des ressentis et émotions sur les écrits nous aidera à nous remettre en question, ce qui est une qualité dont doit faire preuve un travailleur social.
(L'écriture occupe également une place importante au sein de notre projet). Extérioriser ses sentiments, ses questionnements, ses doutes par les mots offre la possibilité de s'exprimer librement et d'apprendre à manier l'écriture à sa guise. En vue de réaliser ce voyage au cœur du désert marocain, nous espérons que ce lieu soit fertile pour écrire.
Une fois le séjour réalisé, la relecture de certains passages de son carnet permettrait de prendre suffisamment de recul sur l'expérience vécue et de prendre la juste distance, qui est une compétence que doit acquérir un travailleur social. Nous allons d'autre part apprendre à trouver l'équilibre entre écrire pour soi et écrire pour transmettre aux autres.
Par ailleurs, si l’écriture peut servir d’outil éducatif, elle nous sera aussi nécessaire pour réaliser nos écrits professionnels. C’est donc une activité doublement intéressante dans le cadre de notre formation et par l'apprentissage du partage.
Simon Bernard- Messages : 5
Date d'inscription : 11/02/2014
Sam- Admin
- Messages : 44
Date d'inscription : 08/02/2014 -
Re: Proposition plan du projet
par Servane Lun 10 Mar - 20:32
Je trouve très bien le mélange des motivations de Cindy, et les éléments rajoutés suite à la réunion de jeudi midi. Il me semble que tout est dit, et vraiment très spécifique à notre projet.
Bien joué !
Bien joué !
Servane- Messages : 3
Date d'inscription : 12/02/2014
Re: Proposition plan du projet
par Amelie Deguine Jeu 13 Mar - 17:59
J'ai enfin lu et bravo vous avez bien bossés ! C'est vraiment top ! Merci à vous 
Il reste quelques trucs à réorganiser mais pour ma part je pense que l'essentiel est dit.
Il reste quelques trucs à réorganiser mais pour ma part je pense que l'essentiel est dit.
Amelie Deguine- Messages : 23
Date d'inscription : 17/02/2014
Age : 33
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